En collaboration avec le Centre de développement de bioproduits Biopterre, il a développé un mycomatériau conçu à partir d’un alliage de chanvre et de champignons qui servira à remplacer les traditionnelles boîtes de plastique. « En ce moment, nous testons la durabilité du prototype. Dans un an, je vais avoir assez de données pour mettre le tout en production. »
Persuadé que ce matériau peut convenir à d’autres usages, l’homme d’affaires souhaite que d’autres PME s’intéressent à ce procédé. « Certains vont dire que je dévoile le secret de ma Caramilk, mais je pense que cette innovation peut être utile autant en construction qu’en horticulture ou dans le domaine du design. On ne manquera pas de matière, car les producteurs de chanvre québécois suffisent amplement à la demande. »
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Un article publié le 9 novembre 2021 dans La Presse.
Collaboration spéciale : Julie Roy